Pour les 1685 soldats canadiens encore en vie, le cauchemar a tout juste commencé. Pour les prochains 4 ans, ils sont emprisonnés dans des camps de prisonniers de guerre japonais (le camp Sham Shui Po representé ici). Les conditions dans ces camps sont atroces: la dipthérie, la dysentrie et la malarie se propagaient rapidement, il n'y avait pas assez de nourriture (entre 500 et 800 calories par jour, seulement 32% du moyen moderne), et pas de soins médicaux. Les prisonniers étaient souvent battus et torturé par leurs capteurs. 4 prisonniers canadiens étaient même executés pour avoir essayé de s'enfuir en avril 1942.3Depuis 1943, ils devaient aussi faire du travail non rémunéré juste pour avoir des repas.RadioCanada 264 canadiens- 1 sur 5- sont morts.

Ils ont finalement été libérés en 1945, après que le Japon s'est rendu aux Alliés. Mais même après qu'ils reviennent au Canada, il fût difficile pour eux de recevoir de l'aide financiaire du gouvernement. Ce n'est qu'en 1952 qu'ils commencent à recevoir une pension- 1$ pour chaque journée passée en captivité, beaucoup moins que les autres vétérans recevaient.

Encore plus tard, en 1987, des personnes ont commencé à faire appel aux groupes comme les Nations-Unis, sous la déclaration que le traitement inhumain que les survivants ont vecu était une violation des Conventions de Genéve. Le gouvernement a été forcé de les rémunerer pour leur service, quelque chose qui était presque sans précédent.

Ce bataille a aussi affecté les relations entre le Canada et les autres pays touchés. Le 8 décembre 2011, presque soixante ans après, le gouvernement japonais a présenté ses excuses aux quelques survivants qui étaient encore en vie pour l'entendre. De l'autre côté, les citoyens du Hong Kong ont généralement une bonne opinion sur le Canada.